En marge du 41e anniversaire commémoratif de la Garde de Sécurité Pénitentiaire (GSP), l’Amicale des anciens de la GSP, a fait don d’une tonne de ciment à l’initiative présidentielle Faso Mēbo. La remise officielle de ce don est intervenue ce dimanche 17 août 2025, du côté du site de l’initiative présidentielle, à Ouagadougou.

Depuis la mise en œuvre officielle de Faso Mēbo, initiative de développement endogène voulue par le Chef de l’État, Président du Faso le Capitaine Ibrahim Traoré, de nombreuses bonnes volontés ne cessent d’apporter leur part de contributions. Et ce 17 août 2025, c’était le tour de l’Amicale des anciens de la GSP de répondre à l’appel du Chef de l’État burkinabè. Conduite par son président, l’inspecteur de sécurité pénitentiaire Julien Ouédraogo, une équipe de l’Amicale s’est rendue sur le site du Faso Mēbo situé dans les locaux du Lycée Phillipe Zinda Kaboré.

C’est au total 20 sacs de ciment, soit 1 tonne que l’Amicale a ténu à apporter à l’initiative présidentielle. A en croire Julien Ouédraogo, ce geste symbolise l’attachement de l’Amicale aux valeurs de solidarité, d’unité et de service qui ont toujours guidé la GSP. C’est aussi, selon ses propos, une manière pour les membres de l’Amicale de rester aux côtés de l’institution et de la Nation, même après des années de service. « C’est une initiative très noble et important pour l’amélioration des infrastructures au Burkina Faso. Par ailleurs, je lance un appel aux uns et aux autres à poursuivre le soutien pour la réussite du projet », a-t-il laissé entendre.

Apres la remise symbolique, les membres de l’Amicale présents ont retroussé les manches pour donner un coup de main aux travailleurs engagés sur le site pour la confection des pavés ; une manière selon Julien Ouédraogo de les encourager et leur rappeler toute l’importance que revêt l’initiative présidentielle Faso Mēbo.
En ce ce jour commémorant donc le 41e anniversaire de la GSP, le président de l’Amicale a ténu à rendre un hommage à tous ses frères et sœurs d’armes, anciens et actifs.
Par Boukari OUEDRAOGO
